S’asseoir sur un rondin de bois après l’escapade. Poser son casse-croûte sur la souche. Aux aguets, contempler encore la nature après l’avoir arpentée. Les tabourets laissent paradoxalement présager l’homme qui marche. Le piétement élancé, vertical et dynamique est à l’image d’un homme debout. Ces assises n’incitent pas à l’immobilité tranquille ni à l’indifférence, mais à la rêverie dans laquelle l’imagination se met en marche.